EOV Wellness Project® est un programme complet de bien-être en ligne (bien-être émotionnel, physique et mental) visant à fournir des pratiques de bien-être faciles à mettre en œuvre et abordables qui ont été approfondies, fondées sur des faits et étayées par des études médicales.
Quelques mots du directeur médical d'EOV
Ancré dans la recherche et les faits
Dirigé par notre directeur médical, le Dr Chris Stewart-Patterson, notre engagement est de distiller les meilleures informations médicales dont nous disposons aujourd'hui et de créer un programme ancré dans la recherche.
Multidisciplinaire et global
Nos contributeurs sont des docteurs, des académiciens, des musiciens et des artistes visuels. Tous et chacun amène sa propre perspective, qu’il soit question des pouvoirs curatifs de la musique ou des effets qu’a le sommeil sur notre santé mentale.
Pas un remède miracle
EOV Wellness Project® ne fait pas partie de ces programmes « disruptifs » qui vous surprennent avec un nouveau concept dont personne n'a jamais entendu parler auparavant. Ce que nous vous proposons, ce sont des conseils de bien-être abordables et faciles à mettre en œuvre, créés spécifiquement pour EOV et basés sur des recherches approfondies.
Rencontrez le directeur médical d'EOV
Le docteur Stewart-Patterson est expert de la médecine occupationnelle. En tant que directeur médical d’EOV, le Dr. Stewart-Patterson a été essentiel au développement du programme EOV Wellness Project®. Grâce à son leadership, EOV a réussi à distiller et à offrir la meilleure information médicale disponible à ce jour et à créer une programmation qui se repose sur de la recherche solide.
À propos du Dr Stewart-Patterson
Le Dr Stewart-Patterson a obtenu son doctorat en médecine à l'Université de Calgary en 1988 et exerce la médecine du travail depuis 1989.
Il a fourni des services de médecine du travail à la police, aux pompiers, aux agents correctionnels et aux Forces armées canadiennes, entre autres organisations où il évalue cliniquement les effets du stress. Il conseille depuis des années des dirigeants d’entreprise sur la gestion du stress et le bien-être.
En tant qu'éducateur de longue date, il a donné des conférences internationales sur l'aptitude médicale et psychiatrique, notamment une série de conférences à la Harvard Medical School. Il a également été chargé de cours à la Wellington School of Medicine de l'Université d'Otago en Nouvelle-Zélande et directeur de programme d'un cours de gestion du stress à la Harvard Medical School.
Il est professeur et chercheur au Harvard Macy Institute, où il a enseigné aux professeurs des sciences de la santé les principes de l'éducation médicale.
À propos du Dr Stewart-Patterson
Le Dr Stewart-Patterson a obtenu son doctorat en médecine à l'Université de Calgary en 1988 et exerce la médecine du travail depuis 1989.
Il a fourni des services de médecine du travail à la police, aux pompiers, aux agents correctionnels et aux Forces armées canadiennes, entre autres organisations où il évalue cliniquement les effets du stress. Il conseille depuis des années des dirigeants d’entreprise sur la gestion du stress et le bien-être.
En tant qu'éducateur de longue date, il a donné des conférences internationales sur l'aptitude médicale et psychiatrique, notamment une série de conférences à la Harvard Medical School. Il a également été chargé de cours à la Wellington School of Medicine de l'Université d'Otago en Nouvelle-Zélande et directeur de programme d'un cours de gestion du stress à la Harvard Medical School.
Il est professeur et chercheur au Harvard Macy Institute, où il a enseigné aux professeurs des sciences de la santé les principes de l'éducation médicale.
Pourquoi les employeurs doivent prioriser le bien-être généralisé de leurs employés
Au cours de ma carrière médicale, j’ai constaté les impacts cumulatifs du stress sur chacun des aspects de nos vies.
Après avoir passé les débuts de ma carrière à travailler aux urgences et dans des unités de soins intensifs, j’ai commencé à m’intéresser à la prévention des problèmes liés au stress. C’est ce qui m’a mené à la médecine occupationnelle, afin d’aider les gens dans des postes à haut niveau stress comme les pompiers, les membres des forces armés, mes collègues en médecines et même les dirigeants d’entreprise à mieux gérer leur stress. Depuis que j’ai lancé ma carrière fondée sur le bien-être comme méthode de prévention dans tous les aspects de la vie, je continue de voir un besoin croissant dans la culture d’entreprise.
De nos jours, certains des épuisements professionnels que je vois viennent de domaines ou de postes qui ne sont pas traditionnellement associés au stress. Je constate de plus en plus de dirigeants d’entreprises de toute taille aux prises avec les réalités d’employés stressés et les conséquences qui y sont associées. La pandémie est sans aucun doute venue accélérer les défis de bien-être que connaissaient déjà les cultures d’entreprises. Nous avons dû vivre une exposition à des risques plus élevés de maladie grave, à la distanciation physique et sociale, et dans plusieurs cas, à de nouvelles méthodes de travail. Tout cela a eu un impact important sur notre bien-être.
Ainsi, combiné aux difficultés des entreprises à conserver leurs employés, ou bien en raison de celles-ci, les employeurs redoutent les impacts de la tendance de la « grande démission ». Bien qu’il y ait de nombreuses raisons qui expliquent pourquoi les gens quittent leur emploi, il est encore plus important aujourd’hui pour un employeur de démontrer la valeur et l’importance du bien-être de ses employés
Alors que les dirigeants considèrent les réalités du travail une fois la pandémie terminée, le bien-être de l’employé, sous toutes ses formes, doit donc faire partie du plan. Offrir à ses employés les outils dont il leur faut pour veiller à leur bien-être ne devrait pas être un avantage, mais bien le statut quo et un élément de base de votre gestion. Non seulement ceci viendra appuyer le succès de votre entreprise, mais il s’agit aussi de la bonne chose à faire pour vos employés et votre communauté.
Alors que les défis de santé et de bien-être sont devenus plus apparents avec la venue de la COVID, le côté positif est qu’il a maintenant un nouvel intérêt pour la santé publique et une nouvelle appréciation pour le bien-être qui est accueillie avec enthousiasme. Les employeurs ont déjà remarqué le changement, ce qui est encourageant. Un rapport d’Aon produit plus tôt cette année précise que la plupart des employeurs ont déclaré devoir revoir leurs avantages de santé mentale et de soins virtuels.
Et de nombreux employeurs reconnaissent déjà que de prioriser les avantages liés au bien-être et au style de vie sain est avantageux pour leurs profits. La facture liée aux maladies de santé mentale s’élève à 6 milliard en perte de productivité pour les entreprises canadiennes. Ce chiffre est déjà exorbitant, et ça, c’était avant la pandémie. Celle-ci est venue amplifier les défis de santé mentale comme l’anxiété et la dépression. Et nous ne parlons même pas des impacts des maladies physiques.
De l’autre côté de la médaille, les études démontrent que les stratégies visant l’amélioration du bien-être et la santé préventive aident à créer des lieux de travail plus vibrants, à remonter le moral, à réduire les jours de maladie et à rehausser le niveau de productivité. C’est simple :
»La façon dont une personne ressent son bonheur et sa satisfaction dans la vie, sur les plans émotionnel, physique et psychologique, est importante pour les individus, les lieux de travail et notre société en général.
Alors, que peuvent faire les employeurs pour s’améliorer?
Selon moi, il est question d’aller bien au-delà de la promotion du bien-être afin d’activement engager les employés à utiliser des services tangibles qui pourront aider à améliorer leur vie. Les docteurs et les professionnels médicaux ont toujours eu de la difficulté à voir leurs patients agir et suivre les recommandations. Les gens ne font pas toujours ce qu’il y a de mieux pour eux, même s’ils savent que c’est ce qu’ils devraient faire. L’activité physique est un bon exemple. Que 15 % des gens bougent autant qu’il est recommandé.
Voilà l’une des idées fondamentales de l’équipe responsable de la création du EOV Wellness Project. Celui-ci est un plan de bien-être personnalisé qui présente des conseils pratiques et fondés dans la recherche, à un prix accessible, offert par le biais de modules virtuels, notamment des vidéos et des occasions de réflexions. Qui plus est, il est question du bien-être dans son ensemble, et non que de la santé physique. Notre approche inclut l’ensemble et elle vient contribuer à améliorer tous les aspects de la vie, du sommeil aux finances à l’alimentation, en plus de venir solidifier vos relations à votre communauté.
Nous savions qu’il était essentiel de permettre aux gens de facilement intégrer le bien-être à leur quotidien, et de manières tangibles. Notre programme offre les éléments nécessaires afin de construire votre propre plan d’action, qui correspond à ce qu’il vous faut pour répondre à vos besoins et aux étapes que vous être prêts à prendre dès aujourd’hui. Chacune des vidéos du programme se termine en invitant les employés à agir et à suivre des étapes pour leur bien-être, qu’il soit question d’habitudes de sommeil ou de gestion de l’argent. C’est un peu comme la prescription qu’on reçoit après un rendez-vous médical : une étape concrète qui s’associe facilement à un choix sain.
En offrant aux employés un accès à ce genre de service, les employeurs peuvent non seulement faire la promotion du bien-être, mais aussi donner à chacun le pouvoir d’agir. Alors que de plus en plus de gens le feront, nous serons collectivement mieux équipés à affronter les prochaines tempêtes.
Si vos employés pourraient bénéficier d’un programme de bien-être plus complet, je vous encourage à aller voir notre site Web [URL] et à vous inscrire pour notre essai gratuit de 30 jours. Celui-ci vous donnera un accès à la vidéo de présentation d’EOV et à l’un des huit chapitres du programme.
À propos de Robert Sutherland
Robert s’est intéressé à l’entreprenariat dès un jeune âge, grâce à son mentor et son père défunt. À l’âge de 24 ans, il devient directeur de Tuff Tug Winch Systems Ltd. Il reçoit ensuite une promotion pour devenir l’un de trois directeurs généraux de W.C. Holdings Ltd., une entreprise d’immobilier basée à Sechelt, C.-B. Sa mission était de développer le Eco Village Sechelt, un village conçu et construit afin de répondre à des normes environnementales et de fonctionnalités élevées et pour promouvoir la croissance économique de la communauté.
Robert a étudié le commerce à la British Columbia Institute of Technology et à Camosun College. Il a d’abord étudié la musique au Vancouver Community College, Selkirk College. Il se considère très chanceux d’avoir pu travailler avec de nombreux individus inspirants et de s’être formé auprès d’eux pendant sa carrière.
Rencontrez le fondateur d'EOV
Robert Sutherland a fondé EOV Ventures en 2013, dans le cadre de son travail de développement d'initiatives de valeur partagée. L'intérêt de Robert pour ce domaine a commencé en 2011, lorsqu'il a découvert le modèle de création de valeur partagée (CSV) décrit dans la Harvard Business Review. Son intérêt pour le développement de ce modèle l'a amené à cofonder une entreprise dont l'objectif est d'apporter le concept de valeur partagée aux entreprises au Canada. EOV est né dans la continuité de ce travail, et Robert a ensuite rassemblé une équipe internationale d'experts et de créatifs pour construire EOV Wellness Project®.
À propos de Robert Sutherland
Robert s’est intéressé à l’entreprenariat dès un jeune âge, grâce à son mentor et son père défunt. À l’âge de 24 ans, il devient directeur de Tuff Tug Winch Systems Ltd. Il reçoit ensuite une promotion pour devenir l’un de trois directeurs généraux de W.C. Holdings Ltd., une entreprise d’immobilier basée à Sechelt, C.-B. Sa mission était de développer le Eco Village Sechelt, un village conçu et construit afin de répondre à des normes environnementales et de fonctionnalités élevées et pour promouvoir la croissance économique de la communauté.
Robert a étudié le commerce à la British Columbia Institute of Technology et à Camosun College. Il a d’abord étudié la musique au Vancouver Community College, Selkirk College. Il se considère très chanceux d’avoir pu travailler avec de nombreux individus inspirants et de s’être formé auprès d’eux pendant sa carrière.
C'est le bon moment pour la valeur partagée et le bien-être des employés
Comme pour nombreux d’entre nous, la récession de 2008 a été un moment décisif pour moi. Il a été difficile de voir l’impact social et économique énorme connu en Amérique du Nord et partout au monde, mais en même temps, la crise m’a poussé à viser une meilleure gestion des affaires.
Lorsque je suis tombé sur l’article fondateur de la Harvard Business Review sur la valeur partagée en 2011, j’ai su que c’était tout. Même s'il s'agissait peut-être d'un nouveau principe dans le monde de l'entreprise, il m'a parlé en fonction de ce que j'avais vu en grandissant. Un certain nombre d’entreprises à l’époque étaient beaucoup plus soucieuses de la société. Mon père, par exemple, travaillait dans une entreprise entièrement détenue par ses employés et dont le but était d'avoir un impact positif sur la communauté environnante.
J’ai donc vu la valeur partagée comme une extension de ce modèle, une façon de gérer qui a non seulement un impact positif sur les revenus, mais aussi sur le monde qui nous entoure.
J’ai commencé à penser à comment je pouvais non seulement adresser certains des défis que je constatais, comme le stress financier et son impact sur la santé mentale, tout en offrant aux entreprises les outils dont il leur faut pour arriver à créer une valeur partagée.
Finalement, ce travail est devenu notre entreprise, EOV Wellness Project, qui se concentre sur le bien-être global – en d’autres termes, pas seulement la santé physique, mais tous les aspects de la vie, des finances au bien-être social et communautaire.
Aujourd’hui, je constate que le monde est à un point décisif semblable à celui que j’ai connu il y a plus d’une décennie. Alors que nous vivons les impacts d’une pandémie mondiale, d’un mouvement de justice raciale radical et des conséquences extrêmes du changement climatique, le concept de la valeur partagée est plus propice que jamais.
» Pour moi, le bien-être individuel doit être la pierre angulaire d’une valeur partagée. Si une entreprise décide de s’attaquer davantage aux problèmes sociétaux, le point de départ logique est de s’attaquer aux problèmes au sein de l’entreprise pour renforcer les employés.
Lorsqu’un employé est en santé et priorise son bien-être, cela a un impact positif sur tous les gens qui les entoure, y compris la famille et la communautaire toute entière. Sans oublier qu’ils sont ainsi mieux équipés à résoudre certains des plus grands défis du monde.
La valeur partagée est en croissance et elle mène à des résultats
Des dizaines d'entreprises multinationales de premier plan ont mis en œuvre des principes de valeur partagée au cours de la dernière décennie, reconnaissant que la valeur partagée ne signifie pas sacrifier les résultats financiers. Plusieurs font tous partie de la Shared Value Initiative, qui nous a inspiré chez EOV.
Depuis les deux dernières années, on se compte que le gouvernement ne peut pas nous aider avec tout. Le secteur privé commence donc à proposer de nouvelles offres à plus grand impact social, surtout comme les actionnaires et les employés démontrent une plus grande demande. Nous avons pu témoigner de la valeur partagée en action, alors que des entreprises rivales se sont alliées afin de développer le vaccin ou encore ont investi dans l’équipement de protection individuelle
Là où la valeur partagée fait ses preuves, selon moi, est dans les résultats tangibles. Alors que les programmes de responsabilité sociale d’entreprise ont des effets positifs concrets, les stratégies de valeur partagée vont encore plus loin et plus durables. Ils s’intègrent plus facilement et prennent une place au sein de la stratégie commerciale globale.
Pourquoi le bien-être de l’employé est important
Alors que les organisations tentent de résoudre des problèmes sociétaux d’envergure, du changement climatique à la famine, il leur faut des employés équipés d’un état d’esprit sain pour y arriver. Sans des employés en santé, l’innovation dont le monde a besoin n’est pas possible.
En plus d’être au centre de la valeur partagée, la création de cultures d’entreprise qui viennent soutenir le bien-être des employés est ce qui peut actuellement permettre aux entreprises d’avoir un avantage concurrentiel. Attirer et retenir des employés de qualité est un défi constant, mais encore plus aujourd’hui, alors que les employés remettent en question ce que représente un milieu de travail sain. Alors que les gestionnaires sont aux prises avec « la grande démission », la priorisation du bien-être des employés permet à l’employeur de se distinguer.
Nous croyons qu’il est important que ces programmes soient accessibles et tangibles afin d’obtenir des résultats. C’est selon cette philosophie que nous avons créé les modules virtuels du EOV Wellness Project. Le programme permet aux utilisateurs de créer leur propres plans d’action tangibles, en fonction de leurs besoins, comme les habitudes de sommeil ou la gestion financière. Voilà notre façon de rendre le bien-être accessible à tous, tout en le rendant mesurable.
Alors que les entreprises regardent vers l’avenir, qu’il s’agisse de rester concurrentiels sur le court terme et de créer de la valeur sociétale sur le long terme, le bien-être des employés devrait être une priorité. Que la valeur partagée fasse déjà partie de votre stratégie ou que ses principes vous attirent, il n’est pas si difficile de mettre en action les principes. Mettre les gens, le cœur de chaque organisation, comme point de départ peut avoir un impact encore plus important que vous ne pouvez l’imaginez.
Contributeurs d’EOV Wellness
Nos contributeurs sont des docteurs, des académiciens, des musiciens et des artistes visuels. Tous et chacun amène sa propre perspective, qu’il soit question des pouvoirs curatifs de la musique ou des effets qu’a le sommeil sur notre santé mentale.
Gwenaël Lewis
Directeur artistique / Réalisateur de films
Gwenael est un cinéaste récompensé qui a travaillé pour des marques telles que Chanel et Louis Vuitton. Il amène avec lui sa sensibilité bien aiguisée pour l’expression visuelle d’EOV et est très impliqué dans le design du programme.
Edo Van Breemen
Compositeur/Designer sonore
Edo est un compositeur de renommée qui œuvre dans le domaine de la thérapie sonore immersive pour la méditation et le rétablissement post-traumatique. La musique qu’il a composée pour EOV vient ajouter une dimension musicale curative à notre programme.
Sirish Rao
Rédacteur créatif principal
Sirish Rao is a writer, recognized among other things, for his award-winning re-tellings of Greek plays for the J. Paul Getty Museum. He is responsible for the way in which EOV expresses itself to the world.
Douglas Toews
Directeur créatif
Douglas Toews (ancient directeur de la creation chez Coty), a été le directeur créatif fondateur d’EOV et une partie intégrante de la conception, de la direction et de l’expression du EOV Wellness Project®. Nous sommes attristés par son décès en 2019 et sommes grandement reconnaissant d’avoir pu profiter de sa vision et de son dévouement à notre projet.
Cristina Belmonte
Écrivain
Cristina Belmonte est une sociologue et une professionnelle de la communication mondiale travaillant sur différents continents. Elle apporte sa vaste expertise pour développer des prospectives utiles basées sur les tendances, les événements et la pensée systémique actuels. Elle aide EOV à distiller le message de manière claire et concise.
Terra Slade
Directrice du marketing et des relations clients
Terra est une professionnelle chevronnée en marketing et ancienne directrice du marketing et des relations clients chez EOV. Elle a présenté aux clients potentiels la valeur d’investir dans le bien-être général de leurs employés en les aidant à atteindre un style de vie plus équilibré, au bureau et au quotidien.
Clause de non-responsabilité